Ce soir, tu es montée te coucher bien avant moi, prétextant un mal de tête, tu m'as assuré que ça allait et que je pouvais rester debout et regarder la télé, « mais pas trop tard ». je ne m'iginais pas qu'une idée bien rodée trottinait dans ta tête. A la fin du programme, et tiraillé par la fatigue je décidai d'aller me coucher. Une fois passé par les petites banalités habituelles (je me lave les dents, etc...).
C'est alors que je s'insinue dans ta chambre et là, les bras m'en tombent, tout est prêt pour un grand festin charnel, tu as organisé un cérémonial, toutes tes bougies sont allumées, tes murs rayonnent des flammes tournoyantes. Tu as également allumé de l'encens, décidément l'ambiance semble tout indiquée pour que nos corps s'adonnent allègrement à l'effort, si seulement il ne manquait pas quelque chose: toi!
Mais où te caches-tu?
C'est ce moment de doute dans mon attitude que tu choisis pour faire ton apparition de derrière ta porte; tu me surprends et te jettes sur moi. Je découvre alors ta tenue. Tes cheveux son relevés en chignon soutenus grâce à cette astuce qui nous vient de Chine. Tes yeux sont maquillés et un trait d'eyeliner étiré longuement soutient un regard provocateur.
Provocateur, c'est aussi l'image que me renvoie ta poitrine, mise en valeur grâce à cette dentelle noire qui rehausse rageuse le galbe de tes seins. Tu as poussé la provocation en mettant un peu de paillette dessus, comme si cela ne me suffisait pas à attiré mon regard.
Si je descends plus bas, je peux voir ce carré de dentelle qui cache le saint des saints, un shorty noir dont tu sais qu'il sait à merveille montrer la splendeur de tes boules de muscles placées au bas de ton dos.
Un attirail très complexe semble être présent pour soutenir les bas que tu as placés sur tes jambes douces.
Tu plaques alors mon dos contre tes seins, et tires mes bras vers l'arrière pour me forcer à abdiquer sous ta pression. Tu me pousses vers le lit, et m'y jettes comme si j'étais puni.
« mets-toi sur le dos »! m'invectives-tu. « Tu risques d'en prendre pour ton grade ce soir! »
Tu as préparé sur ta table de chevet des liens de satin pour pouvoir m'attacher à ton lit.
Je tremble de désir et sens la toile de mon pantalon se tendre et le sang dans ma verge m'arracher des soubresauts dans le bas-ventre.
Tu déchires littéralement ma chemise pour laisser apparaître mon torse nu et transpirant du désir qui m'enivre. Mue par une étrange violence, tu griffes gentiment mon torse en t'attardant sauvagement sur mes tétons afin de les exciter. Tu te penches et tends tes dents vers eux, et commence à les mordiller; malgré ton apparente maîtrise, je sens ton sexe s'appuyer sur mon bas- ventre. Déjà je sens l'extase poindre au bout de ton vagin, mais tu veux montrer une façade de calme et essaye d'arreter tes balancements.
Tu défais ton soutien gorge et balades tes seins sur mon poitrail, remontes et les glisses sur ma bouche. Je me délecte de leur douceur, mais toi ce que tu veux c'est ma frustration et comme tu vois le plaisir que je prends à les lécher, tu m'en prives aussitôt.
Je pense que tu vas venir chercher ton bonheur au creux de mes hanches, juste au bas de mon nombril. Ma ceinture ne resiste pas longuement aux attaques sûres de tes doigts agiles; les boutons de mon pantalon sautent un à un et tu fais glisser cette masse de tissus le long de mes jambes.
Je me sens honteux à la vu de mon sexe qui tend hardiment mon string que j'avais mis ce soir pour t'exciter, mais je ne savais pas que tu aurais pris de l'avance. Je rougis, tu t'en aperçois et me dis que je ne devrais pas être aussi « tendu ».
Tu détaches alors tes cheveux et commences à les trainer le long de mes jambes, en commençant par les mollets, puis les genoux, les cuisses, et enfin mon entrejambe qui crie de douleur dans l'attente d'une récompense qui pourra soulager mon envie de te prendre au plus profond de ton corps.
Une fois passée avec tes cheveux sur mon sexe gonflé, tu embrasse virilement ce dernier à travers le tissu de mon sous-vêtement. Nue fois de plus mon corps ne réclame que la pression de ta bouche sur ma verge abondamment irriguée, j'ai mal de désir.
Tu remontes encore une fois en direction de ma bouche en laissant savamment trainer tes seins ronds jusque sur mes lèvres entrouvertes par mes halètements, je sors ma langue, et me régale de la douceur et du sucré de tes ronds, tu commences à gémir, je t'ai enfin percé à jour, j'ai dévoiler ta faiblesse, cette t'es extrêmement sensible. Les mouvements de ton bassin s'accélèrent, et je sens arriver l'humidité de ton sexe sur mon membre érigé. Je regrette de ne pouvoir caresser ta peau.
Perdras-tu tout ton contrôle et enfin te laisser aller au désir?
Non, ce serait bien mal te connaître, tu reprends de l'aise et redescends vers ma hampe, tu descends mon sous vêtement et dévoile l'extension de ma personne qui t'est toute entière consacrée, qui est tendue vers toi et qui n'attend que tes lèvres, ta langues, ton sexe, tes mains.
Tu diriges ton visage vers ce vertigineux endroit, déploies ta langue et commences à jouer avec mes bourses. Mon gland souffre de l'afflux trop important de sang, il faut me soulager de ce désir qui enflamme mon membre, je t'en supplie, prends moi en bouche. Souhait exaucé, tu agrippe mon membre et l'avale entièrement, je me sens soulagé de ces vas et viens. Je ne peux retenir mes cris, l'excitation fut tellement enfouie, que je te supplie d'arrêter au risque que je jouisse.
Tu t'execute, remets mon string sur mes hanches, remets ton soutien-gorge, et sort de la chambre sans aucune autre forme d'explication.
Je vais devenir fou, tu joues avec mes nerfs et mon coeur.
Je me débats pour défaire mes liens, y arrive au bout de 3 minutes, je sors de la chambre, te cherche. Tu es dans le bureau, assise dans le fauteuil, nue, les jambes écartées en train de te caresser les seins d'une main, et de jouer avec ta jolie vulve de l'autre. Te voir comme ça m'énerve au plus haut point, j'ai comme l'impression que tu arrives à te passer de moi. Tu me regardes, me souris, et me commande de venir, tu appuies sur mes hanches, me force à me mettre à genou pour que ma tête arrive au niveau de ton triangle d'or. « Tu ne t'arrêtes pas avant que je te le dise » m'ordonnes-tu.
Je sens cette odeur si caractéristique de ton sexe m'enivrer les narines, j'ai hâte de goûter à la saveur salée de ta vulve, je l'embrasse, la caresse de ma bouche, y enfoui ma langue. Je t'arrache un premier hurlement, « continue », hurles-tu, « humm », « aaaaah , ne t'arrête pas, enfonces-y tes doigts, d'abord l'index, voilà, doucement maintenant le majeur, et continue de jouer de ta langue sur mon clitoris, aaaaaaaaahh, hummmmmm, voilà comme ça, tu vas me rendre folle, huuummmm, arrête, arrête, ou je viens, entre en moi, je veux que tu me prennes sauvagement », je me redresse alors, t'emporte et te pause sur le bureau je laisse descendre mon string et l'enlève, j'empoigne ma verge, et l'enfonce au plus profond de ta vulve chaude, humide, détrempée même, et grande ouverte.
Il ne faudra pas plus de quelques allers retours dans ton corps pour que nous atteignons l'orgasme ensemble dans un torrent d chaleur, de sueur mais surtout de cri.
Je t'ai rempli de mon amour, mon sexe bas au rythme de mon coeur au plus profond de toi, je ressens alors toute la tension de notre moment s'évacuer, je me repose sur toi, t'embrasse tendrement, je t'aime, tu le répète à ton tour et me glisse la demande en chuchotant que je te porte jusqu'au lit. Je m'exécute alors pour que nous puissions nous endormir paisiblement.